Le « traité de paix global » avec l’Azerbaïdjan est une tromperie, une ruse et un piège. Nous devons éviter de signer un autre document de capitulation. Au contraire, nous devons nous préparer à l’autodéfense.

Immédiatement après le désarmement de l’Artsakh, les relations de partenariat stratégique entre la Russie et la Turquie et entre la Russie et l’Azerbaïdjan enregistrent une forte croissance dans toutes les directions. Armen Ayvazyan, docteur en sciences politiques, l’exprime ainsi sur Facebook.

Les parties au plus haut niveau se saluent cordialement, de nouveaux traités et accords sont conclus, divers événements, tables rondes et séminaires sont organisés.

Il s’agit d’un indicateur important pour comprendre ce qui s’est passé en Artsakh et comment cela s’est passé, et comment les événements autour de la République d’Arménie peuvent évoluer. On a beau essayer de nous convaincre que, dans le cas de la Fédération de Russie, la raison serait Pashinyan, ce n’est pas vrai du tout. La romance entre la Fédération de Russie et la Turquie et entre la Fédération de Russie et l’Azerbaïdjan n’est pas due au facteur de ce collaborateur fantoche.

Un ami de mon ennemi ne peut pas être mon ami (et encore moins un allié). C’est une vérité indéniable. Le reste relève du genre des contes de fées.

Par conséquent, le « traité de paix global » avec l’Azerbaïdjan est une tromperie, une ruse et un piège. Nous devons éviter de signer un autre document de capitulation. Au contraire, nous devons nous préparer à l’autodéfense, afin que la sécurité de l’Arménie bénéficie au moins de véritables garanties internes dans tout traité qui sera signé à l’avenir.

Source principale : golosarmenii.am