La fermeture de la route de l’Artsakh pendant un certain temps permet aux autorités de montrer ce qui peut arriver si elles résistent et ne cèdent pas aux désirs de l’Azerbaïdjan. Les pessimistes disent que le « corridor de Zangezur » finira par être remis aux Azéris et que Pashinyan déclarera que les 120 000 citoyens de l’Artsakh ont été sauvés de la crise humanitaire, publie hraparak.am.

Le silence de Nikol Pashinyan et du gouvernement concernant la fermeture de la route de Latchine a créé une attente dangereuse dans le domaine politique, même dans les domaines non gouvernementaux. Ils supposent qu’ils amèneront la situation au point que quoi qu’ils signent, ils le délivreront en rançon pour des milliers de vies, comme en 2020. ils l’ont fait le 9 novembre, annonçant qu’ils avaient sauvé la vie de 30 000 soldats, écrit hraparak.am.

Par conséquent, on suppose que la fermeture de la route d’Artsakh pendant un certain temps est bénéfique pour les autorités pour montrer ce qui peut arriver si elles résistent et ne donnent pas ce que l’Azerbaïdjan veut. Les pessimistes disent que le couloir de Zangezur finira par abandonner et déclarent que 120 000 citoyens d’Artsakh ont été sauvés de la crise humanitaire.

On suppose donc que la fermeture de la route de l’Artsakh pendant un certain temps permet aux autorités de montrer ce qui peut arriver si elles résistent et ne cèdent pas aux désirs de l’Azerbaïdjan. Les pessimistes disent que le « corridor de Zangezur » finira par être remis aux Azéris et que Pashinyan déclarera que les 120 000 citoyens de l’Artsakh ont été sauvés de la crise humanitaire.

Source : hraparak.am